Dopage chez les coureurs cyclistes : c'est la faute à mon chien !
Le vainqueur du Tour de France 2010, Alberto Contador, a justifié la présence de traces de clenbuterol, une substance interdite, par une "contamination alimentaire". Le coureur espagnol aurait mangé de la viande un jour de repos...
Dans la liste des « excuses » trouvés chez les sportifs soupçonnés de dopage, l'Américain Lashawn Merritt, champion olympique et du monde du 400 mètres, avait tenté d'expliquer son contrôle positif à la DHEA, un stéroïde anabolisant, par « la prise d'un médicament en vente libre visant à augmenter la taille du pénis ».
Certains sportifs ont même été jusqu'à faire preuve d'imagination, relève le site Lepoint.fr.
Ainsi, contrôlé positif à la nandrolone en 1999, Dieter Baumann, médaillé d'or du 5 000 mètres aux Jeux de Barcelone, avait déclaré être victime d'un "sabotage au tube de dentifrice".
Le cycliste belge Frank Vandenbroucke avait assuré à la police, après la découverte d'anabolisants et d'EPO à son domicile en 1999, que le clenbuterol servait à soigner son chien asthmatique.
Source : lepoint.fr
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