Les chats ont, dit-on, 7 vies. Sophie Pendeville, étoile filante et montante de RTL-TVI, en a pour sa part, professionnellement, au moins le double ! Cette touche-à-tout, vraie « pile électrique » comme elle se définit elle-même avec humour, est devenue une animatrice très appréciée. Elle a accepté de devenir l’ambassadrice de SantéVet en Belgique. Rencontre avec une jeune femme pétillante qui n’a pas fini de faire parler d’elle.
SantéVet, en lançant sa marque en Belgique et en proposant des formules d’assurance santé animale pour chiens et chats permettant le remboursement des frais vétérinaires, ne pouvait trouver meilleure ambassadrice qu’en la personne de la Montoise Sophie Pendeville.
« Je suis persuadée des bienfaits de l’assurance santé animale. »
Lorsque le rôle d’ambassadrice de SantéVet Belgique lui a été proposé, elle s’est bien entendu renseigné avant de donner son accord : « J’ai pris conscience de la manière dont SantéVet fonctionnait déjà en France. Et j’ai été immédiatement persuadée des solutions que cette assurance santé animale pouvait apporter aux maîtres en de nombreuses circonstances. Lorsqu’ils se retrouvaient notamment confrontés à la maladie de leur animal », explique-t-elle. « Nous avons tous une assurance humaine. Pourquoi nos animaux, qui font partie de nos foyers, n’en auraient-ils pas ? », poursuit-elle.
De plus, avec l’émission Wouf qu’elle a animée, Sophie Pendeville a pu rapidement se rendre compte de toute l’importance de la place des animaux de compagnie auprès de leurs maîtres. « Avec l’émission Wouf, j’ai été confrontée à toutes sortes de situations. Suite à cela, j’ai eu des messages de maîtres qui avaient des problèmes avec leurs chiens. Parfois des problèmes de maladies, voire de moyens pour les faire soigner. C’est entre autres ce qui m’a fait prendre conscience de l’importance de l’assurance santé animale et de ses bienfaits », indique-t-elle encore.
« Ne pas pouvoir faire soigner son animal est une chose qui m’attriste au plus au point. »
Sophie Pendeville est sure d’une chose : « Ne pas pouvoir soigner son animal à cause de l’argent est une situation horrible. » En Angleterre, par exemple, l’impossibilité d’accéder à des soins pour les animaux de compagnie conduit à plus de 230.000 euthanasies par an ! « Recevoir des témoignages de personnes qui ne peuvent faire soigner leur animal, cela m’attriste au plus au point. C’est pourquoi je suis convaincue de l’intérêt de promouvoir l’intérêt de l’assurance santé animale. »
« Wouf a été une belle aventure humaine ! »
« Avec Wouf, quand je suis arrivée dans le programme, il y avait 12 chiens en back stage », se souvient-elle. « J’ai pu avoir des contacts humains avec les maîtres. Cela a été très enrichissant pour moi, très touchant parfois aussi. On dit Tel maître, tel chien et cela s’est vérifié tout au long de l’émission. Parfois, lors d’épreuves qui ne se sont pas bien déroulées avec les chiens, certains maîtres étaient profondément tristes. Au-delà des chiens, Wouf a été une belle aventure humaine. »
Hormis l’émission Wouf, il faut dire que Sophie Pendeville a un grand amour dans sa vie : son chat baptisé « H »… de l’Anglais « Ash », qui signifie « cendre », de la couleur de son compagnon à 4 pattes !
« Mon chat m’apaise et me réconforte. »
« J’ai toujours été entourée d’animaux, ils ont fait partie intégrante de ma vie », explique-t-elle. Et désormais, c’est ce chat qui compte beaucoup au quotidien pour l’animatrice. « Je suis complètement ‘’folle’’ de mon chat », assure-t-elle sans ambages. « Il occupe une place entière dans ma vie. Après une journée de travail, quand je rentre fatiguée ou énervée, il m’apaise, et me réconforte. Il ronronne et aussitôt, j’ai remarqué que grâce à lui ma voix se pose tout de suite, comme par miracle. Parfois, je suis impatiente de rentrer à la maison pour le retrouver ! C’est ainsi. », confie-e-t-elle.
« Certains sont heureux de retrouver leurs enfants, moi, c’est mon chat ! Le matin, c’est tout un rituel qui s’est instauré entre nous… Avec ses ronrons, c’est le plus beau des réveils ! Il a vraiment dans ma vie une place très particulière. H est mon compagnon de vie. On joue, on a des moments de câlins, tout cela est très apaisant et réconfortant ! ».
Côté vie privée, on n’en saura pas davantage ! Car Sophie Pendeville tient à la garder ‘’secrète’’. N’en déplaise à ses admirateurs. « La seule chose que l’on sait de moi sur les réseaux, c’est effectivement la vie de mon chat. J’ai d’ailleurs même hésitée au début, car je ne le voulais rien que pour moi ! », dit-elle en riant.
Pour Sophie Pendeville, malgré son succès, « il n’est pas difficile en Belgique de concilier vie professionnelle et vie privée. Nous n’avons pas de presse à paparazzi ! Les journalistes nous respectent quand on ne veut pas répondre à certaines questions que l’on juge trop intimes ».
Sophie Pendeville anime actuellement Go for Zero. « Une émission sur la sécurité routière. Elle est composée de petites ‘’capsules’’ où je joue la comédie au côté d’un acteur. Je suis la blonde de service ! La candide. Mon ami est là pour me remettre sur le droit chemin. Mais tout cela sert une bonne cause. » Car Sophie Pendeville est aussi comédienne. Une corde de plus à son arc !
Blonde et belle, elle n’a pas eu de difficulté à décrocher le titre de Miss Hainaut en 2005. Mais depuis, que de chemin parcouru ! Car sa beauté ne fait pas tout. C’est que Sophie Pendeville, c’est aussi et avant tout une jeune femme à la tête bien pleine !… Une battante. « Il y a bien entendu un facteur chance dans mon parcours. Mais j’ai aussi dû forcer un peu le destin, même si je suis arrivée certainement au bon endroit et au bon moment. Mais on n’évolue pas dans ce métier sans travail. Je suis une grosse bosseuse. Travailler tous les jours, quelles que soient les heures, y compris le week-end, ne me dérange pas et ne me fait pas peur. Je suis une alcoolique du travail ! »
Les 7 vies de Sophie Pendeville !
Les chats ont 7 vies. Sophie Pendeville, du point de vue professionnel, en a au moins le double ! Elle a été animatrice auprès d’enfant, barmaid, a suivi des cours de théâtre amateur, des études d’ingénieur commercial, a étudié l’infographie et la publicité en cours du soir. Elle a également été assistante de production. Pour elle, rester assise derrière un bureau à longueur de journée est impossible.
Sur RTL-TVI, c’est en tant que speakerine qu’elle a débuté. « C’est le travail grâce auquel j’ai fait mes premiers pas et suis entrée à la télé. C’est un métier exigeant. Malgré ce que l’on peut en penser, l’exercice n’est pas si simple ! On travail en direct, sans prompteur, il faut que l’on écrive nos textes. Je me souviens que pour une intervention vers 12h00 12h30, j’arrivais dès 9h00. Le stress était constant ! »
Au début, face à la caméra, Sophie Pendeville avoue qu’elle était « tétanisée, mais il a fallu faire face. » Elle reconnaît que sans ce premier emploi à la télé, elle ne serait pas là où elle est aujourd’hui : « Je n’aurais pas fait les émissions que j’ai fait par la suite sans passer par ce premier emploi. Cela a été une formidable école. Il y a un lien fort qui s’établit avec le téléspectateur qui nous accompagne au quotidien. »
Le métier de speakerine existe toujours en Belgique, contrairement à la France où elles ont disparu du petit écran. « Il a un moment été question de réduire l’apparition des speakerine en Belgique, sur la chaîne, alors que cela constitue en quelque sorte l’ADN de notre TV. Cela a donné lieu à une ‘’révolte’’ de la part des téléspectateurs. Comme quoi nous comptons pour eux ! Chaque speakerine peut avoir son style, sa manière de présenter, apporter quelques infos, amener un peu de différence. C’est passionnant. »
Ensuite, tout s’est enchaîné très vite. Et de nos jours, Sophie Pendeville est décrite comme l’étoile montante de la TV Belge. Car il n’y a pas eu que Wouf. Mais aussi d’autres émissions, comme notamment: Tomorrowland, et De quoi je me mêle où elle endosse alors le rôle de chroniqueuse. « C’est encore un autre métier ! C’est un exercice dans lequel je n’étais pas à l’aise lorsque je l’ai fait pour la radio. J’ai voulu prendre ma revanche, apprendre des choses nouvelles, encore et toujours. Le métier est plus journalistique ; de plus, j’apparais dans cette émission comme ‘’délurée’’… Une vraie ‘’pile électrique’’ aussi, ce que je suis effectivement dans la vie. Cela me ravie. »
Côté projets, Sophie Pendeville certifie qu’elle sera fidèle à la Belgique, sa patrie : « Je suis fidèle à la Belgique. Je n’irai pas travailler en France juste pour satisfaire un égo surdimensionné ! Il faudrait un programme sur lequel j’aurai vraiment envie de travailler pour m’y exiler. »
Le chat : un beau pied de nez au terrorisme
En revanche, elle se déclare « attentive à la France, à ce qui s’y passe. Comme bon nombre de mes compatriotes belges. Nous sommes différents mais finalement très semblables ! De la France, nous avons des nouvelles par les médias, TV et radio, nous nous y rendons pour les vacances, etc. … On suit l’actualité. Nous avons été peinés par les attentats. »
En Belgique, le chat a servi de prétexte à un beau pied de nez au terrorisme alors que Bruxelles, notamment, était en alerte maximum. Les autorités ont en effet demandé à ce que les Internautes ne diffusent pas sur les réseaux (et autres) afin de ne pas donner d’infos aux terroristes. « On connaît tous les lolctats, depuis longtemps, et tout le monde adore ça ! Là, les Belges sont allés plus loin encore en se servant du chat comme parade au terrorisme. Le chat n’a pas été choisi par hasard à mon avis. C’est un animal fort, indépendant… », conclut Sophie Pendeville. H peut compter sur sa maîtresse !
Pour suivre l’actualité de Sophie Pendeville
Sophie Pendeville est entourée sur la photo ci contre de Jérôme Salord, à gauche, fondateur et Pdg de SantéVet ; et à droite de Hugues Salord, Directeur général de SantéVet.
SantéVet
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