Il pleure, il aboie… Que faire ? Rien ! Si vous vous levez au moindre cri, il aura gagné. Restez de marbre.
Soyez zen et faites la sourde oreille à ses petits gémissements.
Cela paraît cruel, mais c'est pourtant la bonne attitude à adopter.
Surtout n’allez pas lui crier dessus, car là non plus cela ne servirait à rien, qu’à envenimer la relation qui commence tout juste à prendre forme.
Les boules Quies sont l’une des solutions, et des nuits blanches il faut parfois s’attendre à en passer quelques-unes !
Certains préconisent de placer une bouillotte à l’endroit de couchage du chiot, ce qui lui rappellerait ou tout du moins lui ferait penser à la chaleur de ses frères et sœurs lorsqu’il dormait blotti à leurs côtés.
Un tic-tac pour le rassurer
On évoque aussi le réveil que l’on place dans un linge et dont le tic-tac lui rappellerait les battements de cœur de sa mère.
Autre astuce : un morceau de tissu ramené de l’élevage et qui serait donc imprégné de l’odeur du premier lieu qu’il a connu et qui aurait des vertus réconfortantes. Ça peut marcher, mais rien dans ce domaine n’est garanti.
Si vraiment les pleurs du chiot sont insupportables pour vous et peut-être aussi (il faut y penser) pour vos voisins, reste une solution : le faire dormir non loin de vous, dans un parc ou dans un panier.
Mais jamais le prendre avec vous sur le lit, même s’il se positionne au pied. Sinon, là aussi, c’est sa victoire que vous déclarerez.
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Photo : L. Dauvois/delalanderie.com